sabato 29 settembre 2007

Mes champions préférés



Voilà mes champions préférés, ce sont les champions que j'ai vu avec les yeux en enfant, avant Gimondi, ensuite Hinault déjà gamin. Je vous les présente, meme s'ils n'ont pas besoin de présentations, à travers le magasin Bicisport, un journal qui s'est grandit avec moi. Il s'agit de coureurs qui ont fait du mordant parfois hargneux, leurs arme la méilleure. Je me suis inspiré souvent à eux, dans les courses, mais avec de résultats.... différents et, surtout dans ma vie de tous les jours.

Mon portrait


Me voilà je m'appelle Luigi Giacobetti, je habite en Italie, dans la très belle région des Marche, le village s'appelle Castel di Lama en province de Ascoli Piceno.

venerdì 28 settembre 2007

301 kilomètres!!!






Cela a été un pari fait entre amis, tous passionnés de cyclisme et de course. Toujours charmé par les entraînements sur ces distances faits par les plus grands champions des courses par étapes, pour tremper leurs physiques, à la fatigue la plus massacrante. On avait pensé au début d'aller de chez nous jusqu'à Bologne, 300 km. mais de plaine... trop facile, alors on va doubler le Massif du Gran Sasso d'Italia, jusqu'à Campo Imperatore, en faisant ensuite le tour, en passant par Assergi, Amatrice et, puis la vieille route nationale Salaria, jusqu'à chez nous, le village de Castel di Lama (AP). L'esprit de solidarité qui s'est crée entre nous ce jour-là, a été simplement fantastique, nous n'avions pas de voiture pour l'assistance, donc on avait besoin l'un de l'autre, à la fin de la journée on avait la sensation d'avoir vécu quelque chose d'unique: ton vélo, tes amis et toi... très beau!!! Pour la chronique le tour a été effectué le 14/06/1998 (répété ensuite en 2000 et 2001, mais avec plus de monde, je l'ai refait tout seul cette année, une folie...) mesurait donc 301 km, dont à peu près 100 km de montée et un dénivelé d'à peu près de 5.000 mt.

Coureur




Me voilà à l'époque où j'étais vraiment un coureur, malheureusement j'ai vraiment si peu de photos, ce n'est pas comme aujourd'hui, avec tous ces moyens. On remonte en 1983, j'étais en échappée avec des copains, mais malheureusement cette course ne se terminait pas en bosse, donc pas de chances. Quand meme j'ai pu franchir seulement deux fois la ligne en premier, toujours trop peu, et toujours au prix d'une énorme fatigue. A propos, je suis celui à droite.



Skiroll




Voilà un sport vraiment costaud, je l'ai découvert à l'époque, où je travaillais dans le magasin de Longoni Sport, je me souvenais qu'il y a quelques années, je rencontrai par hasard les athlètes de ski de fond de l'équipe du Corpo Forestale di Stato, qui faisaient un stage d'été à San Benedetto del Tronto, et s'entraînaient à vélo, bon j'eus façon de remarquer la force qu'on peut obtenir en faisant un entraînement semblable, ils roulaient sur une route en faux-plan à peu près à 40 à l'heure, par rapport de moi, que quand je suis bien, je peux rouler à 33 à l'heure.
Je ne pouvais pas donner de relais, heureusement que la montée est arrivée tout de suite....
Pour pratiquer ce sport il faut de la patience pour apprendre la technique, quelques chutes... et les jeux sont faits.

Porte-flambeau Turin 2006





Voilà l'un des moments les plus beaux de ma vie sportive, mes "chariots de feu". Le 10/01/2006 j'ai eu l'honneur de porter la flamme olympique dans la ville de Fermo, pas loin d'où j'habite. Je dois avouer, petit à petit que le porte-flambeau qui me précédait s'approchait de moi, mes jambes tremblaient toujours plus. Quand j'ai reçu le sacré feu, j'ai vraiment senti en ce moment-là d'être l'ambassadeur des valeurs qui symbolisent les Jeux Olympiques.



Tourmalet


Voilà le monstre sacré du Tour, je ne sais pas pourquoi, mais dans mon imaginaire a été le premier col que j'ai désiré de grimper. Je l'ai fait le 27/08/2003 en partant de Luchon, à travers le col de Peyresourde, le col de l'Aspin, le Tourmalet même, arrivée à Lourdes. Quelle émotion!!! Dans la photo je suis engagé sur un trait un peu avant de La Mongie.
Je me souviens de la descente du Tourmalet, le pire était aux épaules, un panorama incroyable se présentait face de moi, les mauvaises montagnes pyrénéennes avaient été domptées.

Mont Ventoux


Ici, je suis engagé sur la route qui emmène de Bedoin au Géant de Provence. Ce jour-là a été le meilleur pour moi en montagne, j'avais une jambe super. Du boulevard au centre de Bedoin jusqu'au sommet, au dessous de la Tour de l'Observatoire, j'y ai employé 1h 20' 10". La photo me montre sur une des pentes les plus raides après le virage de St. Estève, après le Chalet Reynard, je suis entré dans une tempête de pluie, vent et brouillard, que deviner où était la route a été très difficile. Au sommet j'étais aux anges, car j'avais apprivoisé l'une de montées les plus difficiles du panorama cycliste.

Alpes







Cette photo a été prise pendant la double escalade au Col du Galibier en 2004 vers le Plan Lachat. Ce jour-là j'ai grimpé le Monstre des Alpes, avant du coté de Briançon, après du coté de St. Michel de Maurienne.











Ici, je suis après Arvieux, avant de commencer le trait de 2 Km. avec pointe moyenne au 11% du col de l'Izoard.























Mes Vélos




Voilà mes vélos, ils n'ont jamais refusé de montées, sur leurs cadres il y a la poussière des plus beaux cols des Alpes, des Pyrénées et d'Italie. Il sont équipés tout Campagnolo, et pas seulement parce que je suis italien.