giovedì 25 ottobre 2007

Couleurs, sons et parfums du peloton



La première fois que j'ai regardé une course cycliste sur le bord de la route, a été un coup de foudre! Au début l'attente et, puis l'excitation qui monte toujours plus, les voitures et les motos qui semblent se multiplier sans cesse enfin, voilà le coloré peloton qui d'emblée arrive très silencieux, on essaie de reconnaître ces héros venus de loin et, on ne le sait pas où il vont aller, dans peu de secondes, tous les sens sont engagés à écouter le léger bruissement des roues et des roues libres, regarder les taches coloré des maillots et, le piquant parfum des crèmes de massage qui te remplit les narines. Après le peloton, l'interminable défilé des voitures des maisons cyclistes, qui contraste silencieusement avec coups de klaxon et la bagarre générale. Enfin qu'est-ce qu'il reste de tout ça? Un enivrement dont on se souviendra pour toujours.

mercoledì 24 ottobre 2007

Col de l'Izoard








La Casse Désèrte, un paysage lunaire peut-etre unique dans son espèce, que l'on peut retrouver sur le Mont Ventoux. Nous voilà engagés vers la fin de la montée, après les dure pentes avec moyenne du 11% sur deux kilomètres, après nous sommes sous le monument de deux géants de toute époque cycliste: Louison Bobet et Fausto Coppi, comme vraiment à décréter une amitié entre les deux Pays les plus importants dans l'histoire cycliste.


L'Alpe d'Huez



Elle est surnommée "La montagne des italiens et des hollandais", nous voilà encore Jean Bertrand et moi à grimper cette raide montée, car le meme jour on avait déja éscaladé le col de l'Izoard. De ces belles vacances on garde toujours des très beaux souvenirs.

Une amitié née sur la route



Voilà des photos prises lors de "l'étape Pyrénéenne" faite en 2003. Dans la montée vers le col d'Aspin peu après Arreau, je montais tranquil, quand soudainement je viens devancé par un coureur qui montait bien fort, et sur de lui meme, moi, j'avais déjà monté le col de Peyresourde et un plus je devais encore faire le col du Tourmalet. Je l'étudie un peu pour voir si je pouvais tenir son rythme, une fois établié que oui, je l'ai rejoint, on a relenti un peu, nous nous sommes présentés et, on a commencé parler comme si nous nous connassions depuis des années, en plus son rythme était égual au mien. Bon de là est née une amitié à laquelle je tiens beucoup, tout à fait parce qu'elle est née du'une façon si syncère. Mon ami Jean Bertrand est vraiment costaud, car ce jour-là parti de Luchon il s'est fait: Peyresourde, Aspin, Tourmalet et à l'arrière Aspin enfin Peyresourde encore.... pas de bavardages.

martedì 23 ottobre 2007

Passo dello Stelvio




Voilà une image prise sur Sa Majesté le Stelvio, "une entreprise qui vous donnera un touche de noblesse récitait un article de Bicisport". J'ai toujours songé d'y aller un jour, dès que ma passion cycliste déclancha en Juin 1975 lors du combat final sur les lacets de la mythique montagne entre l'italien Fausto Bertoglio et l'espagnol Francisco Galdos, ils étaient séparés par seules 42 secondes. Bon ce jour-là est arrivé le 21 Juillet 1996, de Prato allo Stelvio j'y ai employé: 1h 45' à peu près, mais ce jour-là ce n'était pas le cas de faire de la computistérie, c'était la joie à l'état pur, pour un cycliste on est aux anges.

lunedì 22 ottobre 2007

Les endroits de mes entrainements





















Voilà les coins où solitairement je m'entraîne, ça c'est du bonheur d'être ravi par ces endroits, sans parler du fait que la mer se trouve à 15 km. de chez moi. Les premières deux photos se réfèrent à la plaine du Castelluccio, un lieu magique où au moment de la floraison au mois de juin ses prés s'habillent des couleurs des tissus du styliste Missoni, on peut voir même la forme de la botte Italie faite avec les arbres, voulu par Mussolini, dans une période que je ne regrette pas bien sur. Dans l'autre on voit le sommet du Monte Vettore et la route qui emmène au Valico di Forca di Presta, route assez raide que je ne dédaigne de parcourir parfois. Dans les deux autres mes douces collines pleines de oliviers et vignobles, qui nous donnent de l'huile et du vin, qui peuvent etre comparés à ceux de la Toscane. Au fond le Gran Sasso d'Italia et les monts jumeaux, Montagna di Campli et la Montagna dei Fiori. Je peux sans aucun doute affirmer que mon caractère a été forgé comme la terre où je suis né, gentil solitement, fort et costaud quand il faut...






domenica 21 ottobre 2007

Mon royaume




Voilà mon royaume, quand j'ai du temps, j'aime le passer dans mon atelier que je me suis construit chez moi. Ca c'est de la poésie, de synchroniser un dérailleur, de réparer un Ergopower, ou de me préparer un couple de roues très légères, mais montées par moi, enfin c'est une satisfaction incroyable, quand par exemple j'achève de monter un vélo d'un de mes amis, je ne peux pas rennoncer à l'admirer tout fini et, de penser que de rien on arrive créer une merveilleuse machine, avec laquelle, des hommes extraordinaires ont écrit pages légendaires d'une histoire centenaire. En plus je suis ravi par l'odeur aigre des pneus pendu au plafond, de l'odeur d'huile qui lustre une chaîne, une roue libre...

Mes débuts



Voilà une image de mes débuts, un coureur d'un age très vert, j'avais treize ans et, j'étais enthousiaste du vélo et surtout des courses. Je n'ai pas commencé tout de suite courir, mais j'ai attendu l'age de quinze ans. Mon premier vélo était marqué BARTALI à la couleur orange, la couleur que j'aime plus après l'azur. En réalité il ne s'agissait pas d'un vrai vélo de course, mais d'un modèle sportif modifié, enlevés garde-boue, carter, lumières, voilà montés une selle et un cintre de course... Quelle joie d'utiliser un vélo avec plusieurs braquets, maintenant aussi quand je change de braquet...c'est un petit bonheur.

sabato 20 ottobre 2007

La légende qui ne meurt jamais



Dans cette photo il y a tout ce qu' a été Fausto Coppi, surtout pour nous italiens, je n'ai pas vécu son époque, je l'ai connu à travers les journaux, les films sur sa carrière, mais surtout ma fantaisie a été stimulée par les contes de mon père et de mon oncle aveugle. Regardez quel style, cette photo a été prise pendant le Tour en 1949 sur une montée des Pyrénées. Dans les années les courses à vélos sont repassées sur les mêmes montagnes où le Grand Fausto passa en flottant et dans lesquelles il traça la légende.

martedì 16 ottobre 2007

La montagne de mes reves














Voilà la montagne qui m'a fait toujours rêver dès que j'étais enfant. Autour d'où j'habite c'est toute une succession de collines et montagnes, mais celle-ci est la plus majestueuse, 2912 m de hauteur la plus haute des Apennins, on peut apercevoir de la neige au sommet, c'est l'unique glacier des Apennins. Bon quand on va la grimper il faut dépasser une infinité de petites montées enfin la dernière 16 km. et plus de 1100 de dénivelé, coté nord. C'est la montée que j'ai grimpée dans les 301 km. faits dans le coté sud le plus difficile. Les derniers 4 km ont une pente moyenne de 10%. Enfin il faut garder des forces.... pour retourner à la maison. Mais je peux vous l'assurer.... quelle satisfaction!!!!

1ère photo: mon village coté haut avec sur le fond le Gran Sasso d'Italia.

2ème photo: ce que l'on voit du coté haut de mon village.